Archives pour l'étiquette maman

En route pour Paris et le pays des « Mood Kit Girls » (épisode 2/2 : le photo shoot)

La vie est faite de rencontres. Parfois, elles ne durent que le temps d’un trajet de train mais ont quand même un profond impact. La journée avec les Mood Kit Girls était un peu comme ça pour moi : une jolie parenthèse pleine de rencontres avec des petits bouts de femmes, mamans et bloggeuses, comme moi.

Fanny et Capucine, du magazine Egg ont été douces et pétillantes à la fois. Elles nous ont mis immédiatement à l’aise. Et puis j’ai rencontré Continue la lecture

J’ai testé pour vous : le transat pendulaire Nuna Leaf

Bon j’avais déjà un transat bien sympa mais d’occas… et oui : j’aime bien essayer avant d’acheter ! Et puis comme j’avais encore une petite cagnotte de naissance, après deux mois et demi je me suis fais plaisir. Continue la lecture

Les Vendredis Intellos : « mon fils, ma bataille »… réflexions sur l’absence du père

Il  y a quand même des fois ou je sèche un peu pour les vendredis intellos… Oui je sais, je pourrai demander un peu d’inspiration à Mme Déjantée mais j’espère toujours que ça va venir tout seul.   Continue la lecture

A moi de vous faire préférer le train…

J’aime partir en vadrouille… avant bébé c’était plus facile (quoique c’est toujours moi qui me fait fouiller ou arrêter quelques heures aux aéroports mais ça c’est une autre histoire 😉 ) Depuis bébé, c’est un peu plus galère et franchement le premier voyage en avion m’a laissé un peu traumatisée (juste un peu…)

★ Le truc en avion, c’est que :
– Il faut aller à l’aéroport. En voiture, c’est siège bébé et tout le tralala et en train, ben c’est pire… parcequ’en général c’est pas un très long trajet.
– Après, il faut faire l’enregistrement et là on a qu’une trouille c’est de dépasser le poids autorisé. Déjà que j’ai dû enlever deux paires de chaussures pour faire place aux biberons et peluches, je vais pas non plus devoir payer une amende, non ?
– Et puis, on fait la queue pour les douanes, pour rentrer dans l’avion. Alors, oui avec bébé on fait moins la queue et on choisit sa place mais ça veut juste dire qu’on attend plus longtemps dans l’avion et ça nous évite le regard de pur terreur que peuvent avoir les gens quand ils vous voient avec bébé : oh non une maman avec un petit hurleur qui va me gâcher mon vol, noooooooooooooooooon !
– Et puis le vol en lui-même, s’il est court on a jamais le temps d’accéder à la table à langer donc bébé pas content et on a peur qu’il ait mal aux oreilles et qu’il pleure et, et, et… pfffffff trop de truc à controler , qu’on ne peut pas controler
– Une fois arrivés, faut passer la douane et puis récupérer les bagages (ça prend toujours 3 heures) et ressortir de l’aéroport…

★ En train :
– La gare est en centre ville
– Il n’y a pas d’enregistrement et on peut même demander de l’assistance aux bagages (avec la SNCF c’est 5€)
– Une fois dans le train on a le temps d’aller changer bébé (même si la table à langer est toujours à l’autre bout du train…)
– Si le petit bout pleure, ben on peut aller loin, très loin dans le wagon-restaurant ou entre deux wagons (pour se cacher en calmant bébé)
– Les oreilles du petit bout ne souffrent pas de la pression, du coup il dort en toute tranquillité et il n’y a pas à le réveiller toutes les demi heure parcequ’il faut s’enregistrer, passer la douane, rentrer dans l’avion, sortir de l’avion…

Alors oui d’accord c’est un peu plus long en train (quoi que de porte à porte ça se discute) mais au moins on nous bouge pas comme du bétail toutes les demi heures et c’est souvent un peu plus cher mais pour les voyages d’une heure en avion, je préfère prendre le train voila… et puis avec tous les extras en avion et les trucs qu’on doit acheter sur place parcequ’on a pas pu les mettre dans les bagages…

Promis, un jour je prendrai un vol long courrier et vous raconterai comment ça se passe mais j’en suis pas encore là… Pour le moment petit bout a 3 mois et demi et a fait la traversée de la Manche en avion et en train. Il est allé à Paris, à Lyon, dans les Alpes, en Ardèche, dans le Sud de la France et cette semaine on va en Suisse : je le prépare pour les longs courriers quoi 😉 Et vous, vous préférez le train ou l’avion ?

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Les Vendredis Intellos – La dépression pendant la grossesse

Les neuf mois de la grossesse sont sensés être parmi les plus beaux de la vie d’une femme. Pourtant parfois, ce n’est pas le cas. J’ai été beaucoup touchée en lisant un article de Lucy Atkins dans le quotidien britannique le Guardian

D’après cet article de 2008, une femme sur 10 développe des troubles dépressifs durant sa grossesse. Ils s’expriment à des degrés différents mais il est apparemment plus courant de souffrir de troubles dépressifs quand on est enceinte de 32 semaines que quand on est maman d’un bébé de 8 semaines. Pourtant il me semble qu’on parle beaucoup de la dépression post-partum mais très peu de la dépression prénatale.

Cette dépression peut s’exprimer de façons multiples (crises d’anxiété, irritabilité, troubles obsessionnels compulsifs (TOC), agoraphobie et même pensées suicidaires) et avoir tout autant de causes (hormonales ou psychologiques : grossesse non planifiée, problèmes dans la relation de couple, fausse-couches ou tout autres traumatisme). Elle peut se développer chez des femmes qui n’ont eut aucun antécédent de fragilité psychologique jusqu’au moment de leur grossesse.

La journaliste du Guardian illustre son article de deux témoignages, l’un d’entre eux est celui de Jodie Santos une réalisatrice de documentaires qui a souffert de dépression durant sa première grossesse. Je vais essayer de  vous le traduire le plus fidèlement possible :
– « For Santos, her profound sense of connection to her unborn child both inflated and soothed her depression: « I have read that being pregnant is the closest you’ll ever get to the other side, » says Santos, « with the soul inside of you straddling the worlds of darkness and light. Even in my most difficult moments, I have always felt this joy radiating from the life within me. »
– « Pour Santos, la connection profonde qu’elle ressentait vis à  vis de son enfant a décuplé mais aussi apaisé sa dépression : « J’ai lu qu’être enceinte est ce qu’il y a de plus proche de l’autre monde » dit Santos « et l’autre petite âme que l’on a en soi chevauche à la fois le monde de l’ombre et de la lumière. Même dans mes moments les plus durs, j’ai toujours senti la joie irradier de la vie qui grandissait en moi » .

Partager de tels sentiments doit être proche de l’impossible, beaucoup de femmes admettent d’ailleurs ressentir une énorme pression de la part de leur environnement pour être (ou avoir l’air) heureuse. Lucy Atkins cite également Nicky Stanley, professeur en travail social à  l’université centrale du Lancashire
– « It can be very hard to disclose depressed feelings during pregnancy, » she says. « The reactions can vary so widely. » While some midwives, health visitors and GPs are very supportive, « some women say they were treated condescendingly, or not taken seriously. »
– « Il peut être très difficile d’extérioriser des sentiments dépressifs durant la grossesse” dit-elle. « Les réactions peuvent varier très grandement. » Si certaines sages-femmes, visiteurs médicaux et médecins généralistes sont très  compatissants « certaines femmes avouent avoir été traitées avec condescendance, ou ne pas avoir été prises au sérieux » ».

J’ai été suivie en Angleterre durant ma grossesse. Je me souviens clairement que les sages-femmes  m’ont demandé si je me sentais déprimée lors des visites postnatales (qui se déroulent dans le mois après la naissance de son enfant). Par contre à aucun moment, cette question ne m’a été posée lorsque j’étais enceinte. Pourtant, être enceinte est sans doute l’une des choses les plus magnifique et les plus terrifiante  à la fois. Pour être honnête, les questions posées pour détecter une potentielle dépression post-partum, l’ont été de façon maladroite et trop automatique. Comme beaucoup de femmes je me sentais un peu dépassée mais je n’aurai jamais partagé ce ressenti avec les sages-femmes. En tout cas pas de la manière dont le sujet a été abordé. Je ne les connaissais pas vraiment et n’aurai jamais réussi à m’ouvrir sur quelque chose de si intime avec des quasi- inconnues. C’est sans doute cette manière de penser, ma manière de penser qu’il faudrait faire évoluer. En tout cas les questions avaient au moins le mérite d’avoir été posées alors qu’elles ne l’ont jamais été durant mes visites prénatales.

La dépression périnatale est un sujet très délicat que je ne fais qu’effleurer dans cet article. Je ne suis maman que depuis quelques mois mais en comptant ma grossesse,  les douze derniers mois ont révélé un aspect de ma personne que je ne soupçonnais pas. J’ai ressenti et ressens encore une pression quotidienne pour être au comble du bonheur en tant que jeune maman mais rien n’est jamais aussi simple. Il y a des jours magnifiques et d’autres, quand il fait ses dents par exemple 😉 , qui le sont beaucoup moins. Je crois qu’il est important de déculpabiliser les jeunes mamans en en parlant un maximum…

Retrouvez toute les contributions des Vendredis Intellos sur  www.lesvendredisintellos.com

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J’ai testé pour vous – l’écharpe de portage jeportemonbebe.com

Quand je suis tombée enceinte, je me suis creusée les méninges pendant des semaines sur quel type de poussette adopter. Après des heures et des heures de recherches sur internet et en magasin, je me suis rappelée que ma sœur avait privilégié l’écharpe de portage avec sa puce et je lui ai demandé si elle pouvait me passer la sienne pour les premières semaines. Deux semaines plus tard, je recevais un paquet avec une toute nouvelle écharpe de portage jeportemonbebe.com (JPMB). Je crois qu’elle était bien trop attachée à la sienne pour me la donner, il faut dire que c’est un peu comme une seconde peau 😉

J’ai jeté un œil sur comment nouer l’écharpe et ma première réaction a été « et ben, c’est pas gagné! » mais en fait, c’est tout simple. Je l’ai utilisée pour le petit bout dès la première semaine.

Les plus :

  • Elle est pratique et super facile à nouer. On peut faire le nœud avant et sortir et remettre bébé à volonté quand il faut le changer
  • Elle est confortable, souple et stretch (95% coton et 5 % élasthanne) – une vraie seconde peau.
  • Elle est facile à entretenir
  • Elle est disponible dans de très jolis tons neutres (moi j’ai la beige / chocolat)
  • Elle est même garantie deux ans

Les moins (ce sont des petits moins mais bon…)

  • Elle est super longue (5 m de long sur 70cm de large). Donc tant qu’on la garde sur nous toute la journée ça va mais si on veut l’enlever, elle traine par terre quand on la noue.
  • Elle est un peu chaude pour l’été. Ça m’a pas pausé problème quand j’étais à Londres mais le bout de chou étant né le 30 juin, quand je suis descendue dans le sud l’écharpe était trop épaisse pour moi (comme tout vêtement en cette saison dans le sud de la France…)

Les extras de JPMB :

  • L’écharpe existe en version courte (3.5m sur 70 cm) donc plus de problèmes d’extrémités qui trainent et beaucoup moins chaude (une couche en moins) mais du coup moins d’options nouage possibles
  • Il existe un version poupon pour la grande sœur qui veut faire comme maman 😉Conclusion :En matière d’écharpe de portage pour moi l’essayer c’est l’adopter alors… merci soeurette !

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Crédits photos : jeportemonbebe.com


Les Vendredis Intellos – mon bébé et le bilinguisme

Je suis maman d’un petit bout de 3 mois, on est tous les deux français – les parents – tous les trois si on compte le petit bout qui est né à Londres. On vit au Royaume-Uni depuis des années. Et depuis que je suis enceinte on me pose plein de questions sur son apprentissage de l’anglais. Au début je ne me posais pas trop la question, je me suis dit que ça viendrait naturellement et puis j’ai entendu plein de choses du genre: retard de langage, bégaiement… Du coup je me suis dit qu’il fallait peut-être que je me penche sur le sujet…
Chocophile m’a gentiment envoyé un scan des pages sur le bilinguisme de l’ouvrage d’Edwige Antier « mon bébé parle bien » et donc pour résumer, voici ce qu’elle conseille.

« Ne parlez pas à votre enfant dans une langue qui n’est pas la votre. »
Oui, alors c’est la ou ça me pose problème parcequ’en théorie l’anglais c’est pas ma langue. Mais bon apparemment « c’est le naturel de votre parole qui soutient toute relation affective, et donc la faculté d’apprendre à votre enfant ». Et parler anglais pour moi c’est hyper naturel au point où je ne me rends parfois pas compte si je parle en français ou en anglais… ce qui entraine quelques moments comiques quand je parle à mes parents. Le long silence et le regard perdu sont en général les signes de ma méprise. Mais bon je m’égare… en conclusion, je peux parler français et anglais à mon petit bout. Tant que c’est naturel pour moi, ca ne devrait pas poser de problèmes???

« Encouragez sa nounou à parler dans sa langue maternelle. »
Moui… tant que je reste en Angleterre ça va mais si je décide de partir… un peu galère : trouver une nounou ou une crèche où on parle en anglais ça va pas être donné ! Mais bon… en théorie, le petit bout devrait bénéficier d’un environnement complètement anglophile à l’école. Du coup, faut-il que je m’abstienne de parler en anglais à la maison pour qu’il puisse clairement distinguer quelle langue utiliser et dans quel environnement ???

« Les bébés perçoivent très bien la prosodie d’une langue »
Prosodie, me direz-vous ? C’est la justesse du phrasé et la musique d’une langue. Bon pour le cout ma prosodie est franglaise…on me prend parfois pour une allemande ou une polonaise mais quand même… Hum… c’est grave si ma prosodie n’est pas tout à fait juste en anglais ?

« Il est possible de mélanger deux langues en parlant à votre enfant»
Apparemment tant qu’on le fait naturellement ça va, l’essentiel c’est qu’on soit gai et que l’on transfère son amour des mots à son enfant. Ouf… je suis bavarde et j’adore parler en français, en anglais et même un peu en allemand alors… ça devrait aller ?

« Bilingue et bientôt trilingue »
Oui enfin je prévois pas non plus d’apprendre à mon petit bout trois langues… enfin bon, il parait que comme ça bébé va pouvoir comprendre que le langage porte une portée différente selon les individus tant qu’on garde la langue maternelle comme référence.

« Ne prenez pas votre enfant pour un singe savant »
Grosso modo faut pas le forcer à parler anglais devant les autres pour montrer comme on est fière… Non mais en même temps c’était pas mon but, je vais quand même essayer de protéger le petit bout un maximum (j’ai toujours détester quand ma mère me faisait le coup !)

Conclusion ?  il faut parler avec le cœur, ne rien forcer et être à l’écoute. En fait, ça marche sans doute avec tout cette formule 😉

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De Peter Pan à Wendy… les personnages de mon histoire

Peter Pan a sa statue à Kensington Garden. Je suis tombée dessus une fois par hasard.. Peter Pan c’est le pays imaginaire, s’il le quitte trop longtemps les enfants perdus ne se battent plus avec  les pirates et le monde s’endort. Londres c’est parfois un peu comme le pays imaginaire… Quand on quitte la fac, qu’on cherche son premier job, l’appel de Londres est un appel puissant . Tout y est possible, on rencontre des gens des quatre coins du monde avec des métiers passionnants et  puis avant qu’on s’en rende compte on oublie la « vraie vie »,  on reste coincé dans le pays imaginaire où l’on vit des aventures  fantastiques et rencontre des gens dignes de personnages de roman.

Peter Pan, à force de ne pas grandir,  revit toujours la même chose.  Quand les enfants perdus sont trop grands, il s’en débarrasse – grandir c’est contraire au règlement – et puis les fées ont une durée de vie très courte, les méchants changent et ses aventures s’enchainent… Mais pour rester cet être  joyeux, innocent et aussi un peu parfois sans cœur, Peter Pan oublie ses anciens amis et ses anciennes aventures. Vivre dans l’instant n’est possible qu’au prix de son propre passé. Et le passé, l’expérience c’est une part importante de notre  identité. Pour moi le syndrome de Peter Pan c’est sans doute refuser de grandir mais c’est aussi et peut-être surtout fuir son passé. Dans  la vraie histoire, Peter Pan ne remplit pas sa promesse de revenir voir Wendy tous les  ans. C’est triste.

Un jour, on a le choix : continuer à vivre comme Peter Pan dans la quête constante du bonheur immédiat, en oubliant le prix qu’on paie pour ça ou rentrer chez soi comme Wendy et ses frères : vivre sa vie, assumer son passé, ses sentiments et chérir ses souvenirs. Alors oui, cela vient en grandissant, avec des responsabilités  mais c’est sans doute le prix du bonheur. Je ne veux pas d’une vie qui soit une suite infinie de petites histoires  avec des personnages différents à chaque fois. Je ne veux pas oublier les endroits, les visages du tourbillon de ma vie. Je ne veux pas oublier ma promesse à Wendy, je veux vivre une seule et longue histoire et me souvenir de tous les détails. .Je veux chérir chacun des personnages qui peuplent l’histoire de ma vie.

 La naissance de mon petit bout m’a fait réalisé qu’il était temps de quitter mon pays imaginaire et de rentrer à la maison. Subitement, tous les personnages de l’histoire de ma vie prennent un relief différent : les bons, les méchants, les Peter Pan, les Wendy et les capitaines Crochet… Je ne sais pas trop où est ma maison en ce moment et quels sont les personnages qui vont peupler tous les autres chapitres de ma vie mais Peter Pan au final c’est un petit garçon solitaire et moi maintenant je suis une maman.

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La veilleuse Tendre Océan Fisher Price

Comme toutes les mamans j’étais à la recherche de quelque chose pour aider le petit bout à s’endormir. Il a un mobile qu’il aime bien mais pas assez pour tomber dans les bras de Morphée J Et puis, mon frère m’a offert la veilleuse Tendre Océan Fisher Price. 

C’est une petite boite bleue légère (600g) avec une poignée donc facile à transporter. La veilleuse projette des images nautiques au plafond et est accompagnée des sons de l’océan ou de berceuses classiques – j’ai reconnu « brille, brille petite étoile » mais pas encore les autres 😉 . Il y a deux niveaux de volumes, moi j’utilise toujours le plus bas mais j’imagine que si le projecteur est situé assez loin du lit on peut opter pour le niveau 2

J’ai ajouté cette veilleuse à ma routine du soir : après le bain, la petite séance de massage à l’huile d’olive et la tétée du soir, j’allume la veilleuse. Le petit bout ouvre ses grands yeux et regarde fixement la projection des étoiles de mer sur le plafond. Lui qui ne s’endormissait que dans  mes bras, s’endort désormais en fixant le plafond au son des mélodies de la veilleuse Tendre Océan.  Lorsqu’il se réveille au milieu de la nuit,  je l’utilise pour nourrir le petit bout. La lumière du plafonnier est un peu trop forte et le réveillait à chaque fois, avec la veilleuse le petit bout ne se réveille qu’a moitié et donc se rendort plus vite.

Mon fils n’a que deux mois mais ma nièce de 4 ans et demi a eut l’air de beaucoup apprécier aussi. Au début j’étais un peu déçue par le fait que les images soient fixes, mais la petite puce n’avait pas l’air d’être plus embêtée que ça donc tout positif – à part peut-être le manque d’images : il n’y en a que deux. Une image toute simple pour les nourrissons et une un peu plus complexe pour quand il grandit.

Moi je ne peux plus m’en passer,  je la prends dans ma valise à chacune de nos escapades – et je vous promets que mes valises ne sont pas si grosses que ça : le strict minimum 😀

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« Sticky Bellies » – ben oui… un autre coup de cœur !

Mon petit bout a deux mois et comme toutes les mamans , je le bombarde de photos. J’aurai pu dire que « je documentais sa croissance » ou un truc comme ça mais je crois qu’il en a déjà ras le bol de mon I phone… C’est bien simple il s’arrête de gazouiller dès que je le dégaine !

Mais bon, je vais prendre une photo tous les mois pour marquer son « moiniversaire ». Comme je ne suis pas une super photographe (j’aimerai bien), je voulais un petit truc marrant pour la photo.« Sticky Bellies » c’est mignon et rigolo – le parfait petit cadeau de naissance ?!

Comment ça marche ?
1. Décoller l’autocollant
2. Coller sur le T-shirt
3. Prendre une ou même… plein de photos !
4. Décoller du T-shirt
5. Jeter l’autocollant … ou même mieux : garder pour l’album “la première année de bébé”
6. Recommencer tous les mois

Donc j’ai craqué pour les « sticky bellies » et je pense que ce sera un parfait cadeau pour le prochain petit bout qui vient au monde dans mon entourage. Mais comme on ne me l’a pas offert, j’ai pris du papier et emprunté les crayons de couleur de ma nièce et tadahhh, voici le résultat !!! En plus avec un peu de chance, je vais m’améliorer en dessin à force de pratique 😉

Bon, d’accord le mien est pas aussi beau mais ça vient du coeur 🙂 Sinon, il font aussi des autocollants pour les futures mamans ! C’est tout en anglais mais ça vaut le coup de jeter un oeil, ils livrent partout dans le  monde:  www.stickybellies.com


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